 JARDINS D'ECRIVAINS
NOTRE DAME DE PARIS
Bougie 170 gr - 50 H
Fait main - 100% cire de soja sans OGM
Encens des chimères
Description
Victor Hugo (1802-1885) écrivain Français.
Victor Hugo fascine la France en 1831 avec son roman NOTRE DAME DE PARIS.
L'oeuvre littéraire faisant écho avec la renaissance de ce monument, Jardins d'Ecrivains crée une bougie pour cet événement.
Parfum
L’encens des chimères plane dans un Paris médiéval et répand son atmosphère céleste et troublante.
Une épaisse fumigation chargée de myrrhe, styrax et bois d’agar incarne le charisme de la plus célèbre des cathédrales.
- #Conseil d'utilisation #
Pour apprécier votre bougie au maximum, brûler votre bougie jusqu’à ce que la surface soit complètement liquide.
Ne pas brûler des bougies pendant plus de trois heures consécutives.
Ne laissez jamais une bougie allumée sans surveillance. Ne pas brûler des bougies près des animaux domestiques ou les enfants.
Gardez les mèches coupées à ½ cm avant chaque utilisation.
Si la mèche développe une pointe arrondie, éteindre la bougie. Laisser refroidir et retirer l'embout en pinçant entre les doigts à l'aide d'un tissu.
Enlever tous les débris inflammables de bougie avant de la brûler. Ne laissez pas de morceaux de mèche brûlée ou des allumettes dans votre bougie allumée sinon elle pourrait prendre feu.
Afin de protéger le contenant et éviter d'endommager les surfaces, ne brûlez pas votre bougie jusqu’au bout, laissez ½ cm de cire non-fondue.
Toujours brûler des bougies sur une surface plane résistante à la chaleur.
- #Marque#
Parfumerie de niche, Jardins d'Ecrivains est une marque de parfum située à Paris proposant des parfums et eaux de Cologne.
Anais Biguine, créatrice et nez de la maison Jardins d'Ecrivains, s'est inspirée de la littérature pour la création de ses parfums.
Jardins d'Ecrivains évoque des tempéraments romanesques décelant des mécanismes intimes exprimés par une parfumerie fine et créative.
Le choix des matières premières les plus précieuses expriment une parfumerie moderne offrant ainsi ce que Colette appelait : "Le plus indispensable des superflus".
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